après une courte période de pause
temps consacré à d'autres formes de création
l'envie, le désir est revenu
de peindre...
lieu d'exposition éphémère et changeant...peintres du dimanche et de la semaine, dessinateurs et trices, photographie et garçons, muse musique, dessins allumés et animés...
jeudi 19 décembre 2019
jeudi 25 avril 2019
MISS TAKE
Nous vivons ensemble et formons un groupe de plus de 7 milliards d'individus, tous distinctement différents.
Nous avons en commun une multitude de capacités physiques, notre histoire cependant est unique, chacun d'entre nous vit une histoire distincte.
Il n'est pas rare, en communiquant avec d'autres êtres humains de constater que nous ressentons souvent les mêmes émotions, avec des nuances.
Nos priorités divergent, nos préférences et nos choix de vie également.
Nous sommes tous voués à disparaître, à laisser la place à d'autres humains.
Entre le moment où nous naissons et celui où nous mourrons, des modifications physiques bien visibles s'opèrent et nous ne pouvons pas stopper le processus.
Il est fascinant de constater que la plupart des humains s'efforce de nier cette réalité, en utilisant toutes sortes d'artifices plus ou moins réussis.
Comment faire autrement, dans un monde où tout est éphémère?
Comment accepter les marques du temps dans un monde où seule la jeunesse semble avoir une place de choix?
Je travaille depuis une dizaine d'années sur le thème de l'image du féminin, ses stéréotypes.
Depuis 2016, des affiches de spectacle musical servent de support à mon travail.
J'aime le matériau sans noblesse, l'affiche vouée à être jetée... Le visage sur l'affiche est presque entièrement recouvert de peinture, souvent une partie du nez est “épargné”
La belle vedette est transformée en ménagère fatiguée, sur maquillée, ridée, tabassée, enlaidie, redevenue ordinaire, commune.
Il n'y a pas de mépris, juste une envie de montrer ce qui est vrai, des femmes que l'on croise sans les voir, parce qu'elles sont marquées par le temps, par la vie.
Nous avons en commun une multitude de capacités physiques, notre histoire cependant est unique, chacun d'entre nous vit une histoire distincte.
Il n'est pas rare, en communiquant avec d'autres êtres humains de constater que nous ressentons souvent les mêmes émotions, avec des nuances.
Nos priorités divergent, nos préférences et nos choix de vie également.
Nous sommes tous voués à disparaître, à laisser la place à d'autres humains.
Entre le moment où nous naissons et celui où nous mourrons, des modifications physiques bien visibles s'opèrent et nous ne pouvons pas stopper le processus.
Il est fascinant de constater que la plupart des humains s'efforce de nier cette réalité, en utilisant toutes sortes d'artifices plus ou moins réussis.
Comment faire autrement, dans un monde où tout est éphémère?
Comment accepter les marques du temps dans un monde où seule la jeunesse semble avoir une place de choix?
Je travaille depuis une dizaine d'années sur le thème de l'image du féminin, ses stéréotypes.
Depuis 2016, des affiches de spectacle musical servent de support à mon travail.
J'aime le matériau sans noblesse, l'affiche vouée à être jetée... Le visage sur l'affiche est presque entièrement recouvert de peinture, souvent une partie du nez est “épargné”
La belle vedette est transformée en ménagère fatiguée, sur maquillée, ridée, tabassée, enlaidie, redevenue ordinaire, commune.
Il n'y a pas de mépris, juste une envie de montrer ce qui est vrai, des femmes que l'on croise sans les voir, parce qu'elles sont marquées par le temps, par la vie.
"Etre aimé sans séduire est un des beaux destins de l’homme."
Extrait de L’espoir, André Malraux
dimanche 7 avril 2019
Artistes Chateau Vargoz Serignan: # 10. L'expo
Artistes Chateau Vargoz Serignan: # 10. L'expo: Photos Collado René
jeudi 14 mars 2019
ARCHIVES
en 2009
EXPOSITION
« AUTOPORTRAITS » à la galeriebarbes du 28 nov. au 6
déc. 2009
La toute
jeune galeriebarbes présente sa deuxième exposition, depuis sa
création en février 2009.
En juin,
elle montrait le travail d’un artiste atypique, un merveilleux
graphiste, réalisateur/producteur de films d’animation : MARV
NEWLAND.
Cette
première exposition, dans un lieu étonnant ; une maison
particulière, prêtée gracieusement pour les quelques heures que
dura ce premier rendez vous,
a
suscité beaucoup d’enthousiasme.
En
effet, l’une des particularités de la galeriebarbes est de ne pas
être dans un endroit précis et définitif ; la galeriebarbes
s’invite dans un lieu, bien sûr le coup de foudre doit avoir
lieu….comme au début de toutes les belles histoires !
Très
motivée, la galeriebarbes ne voulait pas en rester là.
L’idée
d’une exposition collective a vite germé, entraînant par la même
occasion la question du thème sur lequel les artistes invités
allaient devoir se pencher.
C’est
alors que le thème de l’autoportrait s’est imposé.
A la
fois banal mais tellement riche, super exploité mais jamais
entièrement dévoilé, classique, moderne, contemporain…..figuratif,
habillé, nu, voilé, défiguré, transfiguré…
13
artistes venus d’horizons très variés, tant géographiques
qu’artistiques ont répondu à l’invitation.
Certains
avaient déjà travaillé sur ce thème, je pense bien sûr à Mylène
Fritchi Roux, dont la
pratique artistique s’articule presque exclusivement autour de
l’auto inspection, l’auto scrutation au sens anatomique,
voire anthropomorphique.
Alexandre
Gilibert réalise des
vidéos dans lesquelles il se met seul en scène. Il ne s’agit pas
de présenter une image narcissique, mais de proposer d’élargir
l’étude à l’humanité entière. Le corps de l’artiste devient
laboratoire de recherche.
Antoine présente un autoportrait masqué, évidemment
la
question se pose : ne pas montrer son image n’est ce pas
attiser la curiosité, et en fin de compte ne dit on pas plus en ne
disant rien?
Catherine Buffat quant à elle produit des œuvres très délicates, où le végétal envahit l’espace, laissant à peine apparaître le sujet, son image. Comme une résistance de l’être face au monde, l’inéluctable poussée du temps…
Jean
Luc Gréco, comme Catherine
Buffat est réalisateur de films d’animation.
Son
autoportrait est réaliste, exécuté à la gouache. Le sujet regarde
« la caméra », bien en face, sans artifice. Cet autoportrait
ne vous révèlera rien d’autre que ce que vous voulez voir.
Claudie
Dadu explore le corps, le
sien est aussi sa matière première. Elle s’en sert et nous
surprend en changeant nos repères avec une pointe d’humour en
supplément.
Cécile,
la plus jeune a 17ans. Elle a joué le jeu, dévoilant un peu
son sentiment à
l’égard d’elle-même.
Diane
Dauphinais est peintre, son
autoportrait est une mise en scène onirique, presque
mystique.
Paul
Driessen,
auteur/réalisateur de films d’animation, nous livre un
autoportrait animé cru et sanguinolent, mais rassurez vous, tout se
remet en place !!!
Landmann
est peintre également, mais son autoportrait n’est pas pictural,
en effet l’artiste a un double, un alter ego…..son nom est A.Kim.
Ce
personnage crée de toute pièce par Landmann, il y a bien longtemps
surgit de temps en temps de la jungle…AHHHAHHHHHAHHHH !!!
Marv
Newland a déjà pris ses
marques à la galeriebarbes, en effet en juin dernier, ses cartes
postales dessinées et peintes y étaient exposées. Parallèlement
était présenté en première française, son dernier film
d’animation : « POSTALOLIO ».
Il nous
livre ici un autoportrait en 2 volets, pesé et envoyé.
Thomas
Stellmach vient aussi du
monde de l’animation, mais il est bien réel et travaille à
Kassel en Allemagne, son autoportrait juvénile le dépeint en
lauréat de l’Oscar du meilleur court métrage, distinction dont
l’artiste a été gratifié en 1996, pour son film « Quest
».
Jean
de Piépape est designer,
son autoportrait est un assemblage visible de deux photos ( un homme
et un bébé ). Les deux images ainsi superposées produisent un
effet troublant, aucune des deux images n’étant réellement
lisible, un troisième personnage apparaît, monstre ou gentille
petite créature, gros boui boui ou lapinounourson ?
dimanche 17 février 2019
mardi 12 février 2019
one year smarter un an plus....hummmm
le monde part en vrille,
il faut tourner 77 fois la langue dans sa bouche avant de parler de s'exprimer, la censure est partout, lentement elle s'est immiscée et si jamais tu n'es pas d'accord avec ton voisin ou camarade...ça part en vrille!
on ne s'écoute pas
certains mots sont tabous
des phrases sortent de la bouche comme fabriquées à la chaîne, toujours les mêmes, sans être réfléchies
on répète hors contexte
l'ambiance est plutôt hostile, les regards méfiants
il faut tourner 77 fois la langue dans sa bouche avant de parler de s'exprimer, la censure est partout, lentement elle s'est immiscée et si jamais tu n'es pas d'accord avec ton voisin ou camarade...ça part en vrille!
on ne s'écoute pas
certains mots sont tabous
des phrases sortent de la bouche comme fabriquées à la chaîne, toujours les mêmes, sans être réfléchies
on répète hors contexte
l'ambiance est plutôt hostile, les regards méfiants
cette situation, au lieu d'alerter s'installe tranquillement devient normale...
vendredi 18 janvier 2019
d'accord pas d'accord
Au royaume uni, on cherche à trouver des accords pour que la scission soit moins tranchante suite au vote favorable de la majorité des britanniques à quitter l'union européenne mais qui maintenant se mordent les doigts d'avoir choisi cette option, génératrice de beaucoup de..............cacaboudin.
En France, au même moment les opinions convergent vers une vision plutôt chaotique de la société, de tous côtés, de toutes les conversations ( ou presque ) la tendance est la même: tout est mauvais, malhonnête, truqué, "on nous enfume" disent les gens ( souvent fumeurs eux même, soit dit en passant...) rien ne va plus, les jeux sont faits! il faut renverser le roi et sa cour.
Mieux vaut sonder l'ambiance avant d'avancer quelque propos qui n'irait pas dans le sens des insurgés. En effet, il est de meilleur ton d'être en accord avec la plupart, ou alors il faut avoir envie de passer un mauvais quart d'heure...pas vraiment de place pour la discussion, les arguments avancés par l'équipe adverse sont tranchants et sans appel...souvent teintés de fausses informations, d'idées toutes faites avec la sempiternelle farandole des phrases déjà entendues cent fois ( mais jamais ni remises en question ni même "personnalisées" )
J'ai pour habitude ( à chacun ses défauts ) de ne rien avaler sans l'avoir reniflé auparavant, juste pour ne pas me laisser intoxiquer. Bien sûr cela vaut pour les deux partis (pris).
En ce qui concerne les actuels problèmes de société (petit euphémisme en passant ) la solution n'est pas facile et je félicite d'avance celui qui va réussir à extirper le caillou du pied.
J'ai tendance à minimiser, embellir la réalité...c'est vrai.
Je supporte très mal de vivre dans une ambiance aussi anxiogène.
Je fuis les conflits, je m'éloigne des querelles. Je déteste la haine, les insultes, les bagarres, la violence.
Elle nous est servie tous les jours avec un point d'honneur (?) le samedi. Depuis un mois environ...
Tous les samedis, c'est comme si on me forçait à regarder un mauvais programme de variété.
Je pourrais éteindre la télévision, et la radio, refuser tous les moyens de communication, me terrer chez moi, suspendre toute forme de lien avec le monde extérieur ( celui qui m'intéresse, qui me stimule, me nourrit -habituellement-)
Quoique je fasse la mauvaise ambiance est partout, la haine dans tous les regards, quand ce n'est pas le vide....le vide terrible derrière cette prétendue solidarité.
Quand on prononce le mot "solidaire" j'entends "solitaire" ( mes origines lorraines n'y sont pour rien )
Quelque soit l'issue de cette contestation, le monde ne sera pas plus juste, les humains pas meilleurs, on ne sentira pas davantage d'amour, de fraternité et d'empathie.
De toutes façons ce n'est pas ça le centre des revendications; le but premier du peuple en colère c'est de se sentir maître à bord, de reprendre en main son destin et sa télécommande pour zapper, changer de chaîne, de programme, par instinct primaire.
La tentation est grande quand telle ou telle enseigne ou parti politique nous propose des promotions, des bonnes affaires...
En définitive, la machine est lancée et la séduction opérera encore et encore... un nouvel amant, beau parleur fera tomber la midinette qui n'aura pas appris la leçon.
Je ne comprends pas l'obstination.
A moins qu'il s'agisse d'une manière de se distraire, d'inscrire son nom, son appartenance au mouvement pour pouvoir dire plus tard à sa progéniture " j'en étais" ...il suffit de voir l'engouement ce certains à rendre publiques leur parole et leur image, à proférer des phrases souvent vides, insipides...
Immédiatement suivi par des milliers de personnes qui relayent le vide sidéral et font de son auteur une étoile qui brillera quelque temps...et déjà une autre constellation intergalactique se met à scintiller, diffusée dans l'univers pitoyable...plus besoin d'artistes, de vedettes, de muses. Inutile de lire, la diffusion merdiatique est mise à l'index ( parfois même au majeur ), on est autosuffisant!
L'uniforme.
Rien que le mot me rebute, je suis contre toute forme d'effacement de la personnalité de chacun, nous sommes uniques!
pourquoi revêtir un uniforme? je ne suis pas l'autre, l'autre n'est pas moi...
mon histoire, ma trace, ma généalogie sont uniques...
j'ai la chance de pouvoir penser et d'essayer d'être.
Penser tout seul est risqué, dangereux.
C'est un abîme dans lequel très peu d'entre nous ont envie de se glisser, il y fait sombre et très peu de mains tendues nous rendent l'exercice facile.
Je connais cet abîme.
Ne pas appartenir à un ensemble, à un groupe fait de vous un être à part.
En France, au même moment les opinions convergent vers une vision plutôt chaotique de la société, de tous côtés, de toutes les conversations ( ou presque ) la tendance est la même: tout est mauvais, malhonnête, truqué, "on nous enfume" disent les gens ( souvent fumeurs eux même, soit dit en passant...) rien ne va plus, les jeux sont faits! il faut renverser le roi et sa cour.
Mieux vaut sonder l'ambiance avant d'avancer quelque propos qui n'irait pas dans le sens des insurgés. En effet, il est de meilleur ton d'être en accord avec la plupart, ou alors il faut avoir envie de passer un mauvais quart d'heure...pas vraiment de place pour la discussion, les arguments avancés par l'équipe adverse sont tranchants et sans appel...souvent teintés de fausses informations, d'idées toutes faites avec la sempiternelle farandole des phrases déjà entendues cent fois ( mais jamais ni remises en question ni même "personnalisées" )
J'ai pour habitude ( à chacun ses défauts ) de ne rien avaler sans l'avoir reniflé auparavant, juste pour ne pas me laisser intoxiquer. Bien sûr cela vaut pour les deux partis (pris).
En ce qui concerne les actuels problèmes de société (petit euphémisme en passant ) la solution n'est pas facile et je félicite d'avance celui qui va réussir à extirper le caillou du pied.
J'ai tendance à minimiser, embellir la réalité...c'est vrai.
Je supporte très mal de vivre dans une ambiance aussi anxiogène.
Je fuis les conflits, je m'éloigne des querelles. Je déteste la haine, les insultes, les bagarres, la violence.
Elle nous est servie tous les jours avec un point d'honneur (?) le samedi. Depuis un mois environ...
Tous les samedis, c'est comme si on me forçait à regarder un mauvais programme de variété.
Je pourrais éteindre la télévision, et la radio, refuser tous les moyens de communication, me terrer chez moi, suspendre toute forme de lien avec le monde extérieur ( celui qui m'intéresse, qui me stimule, me nourrit -habituellement-)
Quoique je fasse la mauvaise ambiance est partout, la haine dans tous les regards, quand ce n'est pas le vide....le vide terrible derrière cette prétendue solidarité.
Quand on prononce le mot "solidaire" j'entends "solitaire" ( mes origines lorraines n'y sont pour rien )
Quelque soit l'issue de cette contestation, le monde ne sera pas plus juste, les humains pas meilleurs, on ne sentira pas davantage d'amour, de fraternité et d'empathie.
De toutes façons ce n'est pas ça le centre des revendications; le but premier du peuple en colère c'est de se sentir maître à bord, de reprendre en main son destin et sa télécommande pour zapper, changer de chaîne, de programme, par instinct primaire.
La tentation est grande quand telle ou telle enseigne ou parti politique nous propose des promotions, des bonnes affaires...
En définitive, la machine est lancée et la séduction opérera encore et encore... un nouvel amant, beau parleur fera tomber la midinette qui n'aura pas appris la leçon.
Je ne comprends pas l'obstination.
A moins qu'il s'agisse d'une manière de se distraire, d'inscrire son nom, son appartenance au mouvement pour pouvoir dire plus tard à sa progéniture " j'en étais" ...il suffit de voir l'engouement ce certains à rendre publiques leur parole et leur image, à proférer des phrases souvent vides, insipides...
Immédiatement suivi par des milliers de personnes qui relayent le vide sidéral et font de son auteur une étoile qui brillera quelque temps...et déjà une autre constellation intergalactique se met à scintiller, diffusée dans l'univers pitoyable...plus besoin d'artistes, de vedettes, de muses. Inutile de lire, la diffusion merdiatique est mise à l'index ( parfois même au majeur ), on est autosuffisant!
L'uniforme.
Rien que le mot me rebute, je suis contre toute forme d'effacement de la personnalité de chacun, nous sommes uniques!
pourquoi revêtir un uniforme? je ne suis pas l'autre, l'autre n'est pas moi...
mon histoire, ma trace, ma généalogie sont uniques...
j'ai la chance de pouvoir penser et d'essayer d'être.
Penser tout seul est risqué, dangereux.
C'est un abîme dans lequel très peu d'entre nous ont envie de se glisser, il y fait sombre et très peu de mains tendues nous rendent l'exercice facile.
Je connais cet abîme.
Ne pas appartenir à un ensemble, à un groupe fait de vous un être à part.
samedi 12 janvier 2019
trigger
période riche en réflexion
pour ma part du moins
observation très intéressante, très instructive
je fais partie du genre humain
nous sommes 7, 650 milliards d'individus, ce qui veut dire que nous sommes autant d’exemplaires uniques,
pas deux absolument semblables
tous uniques, un seul modèle de chacun d'entre nous, impossible de reproduire deux fois exactement le même humain, le même animal, le même jour, le même air, le même moment...
nous sommes uniques!
tout autour de nous est unique!
chaque instant est aussi unique qu'il est fugace
ce qui se déroule devant nous est insaisissable, la parole est dite
l'action est lancée
pour revenir en arrière c'est un peu comme marcher à reculons sur un tapis électrique, ce n'est pas facile et ça demande beaucoup d'efforts, et ce n'est jamais vraiment efficace car le tapis lui, continue d'avancer...
certains choisissent de ne parler qu'après avoir longuement réfléchi
certains choisissent de vivre leur vie qu'après avoir longtemps observé le monde qui les entoure
certains trouvent
d'autres cherchent
certains pensent avoir trouvé et se remettent à chercher
tous les jours et à chaque instant des milliards de petits ou grands événements bouleversent le cours de nos vies, rien n'est vraiment prévisible; on a beau essayer de guider "la machine", en définitive c'est elle qui décide...
enfin pas vraiment, car nous pouvons tenter d'intervenir pour donner une certaine orientation à notre destin, ce n'est certainement pas facile mais "qui ne tente rien...."
on oriente souvent sa vie selon un modèle, une idée, un concept
parfois on rêve de décrocher une étoile
on met la barre très haut
on grimpe sur une échelle bien trop haute
ou bien on se met en tête un rêve accessible, on s'y tient, le rêve se réalise et on est content
il y a les toujours contents
les jamais contents
pour ma part du moins
observation très intéressante, très instructive
je fais partie du genre humain
nous sommes 7, 650 milliards d'individus, ce qui veut dire que nous sommes autant d’exemplaires uniques,
pas deux absolument semblables
tous uniques, un seul modèle de chacun d'entre nous, impossible de reproduire deux fois exactement le même humain, le même animal, le même jour, le même air, le même moment...
nous sommes uniques!
tout autour de nous est unique!
chaque instant est aussi unique qu'il est fugace
ce qui se déroule devant nous est insaisissable, la parole est dite
l'action est lancée
pour revenir en arrière c'est un peu comme marcher à reculons sur un tapis électrique, ce n'est pas facile et ça demande beaucoup d'efforts, et ce n'est jamais vraiment efficace car le tapis lui, continue d'avancer...
certains choisissent de ne parler qu'après avoir longuement réfléchi
certains choisissent de vivre leur vie qu'après avoir longtemps observé le monde qui les entoure
certains trouvent
d'autres cherchent
certains pensent avoir trouvé et se remettent à chercher
tous les jours et à chaque instant des milliards de petits ou grands événements bouleversent le cours de nos vies, rien n'est vraiment prévisible; on a beau essayer de guider "la machine", en définitive c'est elle qui décide...
enfin pas vraiment, car nous pouvons tenter d'intervenir pour donner une certaine orientation à notre destin, ce n'est certainement pas facile mais "qui ne tente rien...."
on oriente souvent sa vie selon un modèle, une idée, un concept
parfois on rêve de décrocher une étoile
on met la barre très haut
on grimpe sur une échelle bien trop haute
ou bien on se met en tête un rêve accessible, on s'y tient, le rêve se réalise et on est content
il y a les toujours contents
les jamais contents
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